Cellule de l'avare

Sujet: Re: Cellule de l'avare Mer 21 Oct 2009 - 13:10

( C'est moi qui ai archivé le HRP, mais j'ai oublié de le signaler. )

Sujet: Re: Cellule de l'avare Mer 21 Oct 2009 - 14:06

( ... ah ... comme ça je peux même plus le consulter ... <.< )

Sujet: Re: Cellule de l'avare Mer 21 Oct 2009 - 14:15

( Disons que ça prend trop de place et que vu que vous avez déjà tous lu ça n'a plus sa place ici. C'est un topic RP après tout. )

Sujet: Re: Cellule de l'avare Jeu 22 Oct 2009 - 12:49

( Bon c'est le jour de la sortie il me semble =D donc je vais achever ... si jamais je me suis trompé ... dites le moi ... )

Un garde entra dans la cellule pour faire sortir Ertilo de là. En passant il croisa Chris et lui lâcha moqueur :

- Vos prisons mon permis de me reposer ... Il faut dire qu'à Tarenia non seulement je n'étais pas nourris mais en plus ... on me frappait ... vos cellules mon aider a reprendre de forces et croyiez moi ... je vais vous mener la vie dure ...

Il fit un petit sourire avant de se laisser conduire par le garde.

( bye bye =p )

Sujet: Re: Cellule de l'avare Jeu 22 Oct 2009 - 13:19

Chris sourit, voyant Ertilo se faire tenir par un garde. Comme si c'était une bête apprivoisée.
- Tu t'es bien payé ma tête pendant ta détention. N'essaie plus de faire quelconque agression. Maintenant, je ne veux plus te voir.
Sur ces mots, il quitta les lieux.

Sujet: Re: Cellule de l'avare Mer 28 Oct 2009 - 1:01

Il était tard. Rukainn s'avançait avec une femme nue. Enfin, trainait plutôt une femme nue.

Les murs avaient des traces d'humidité, le sol n'était pas très net non plus. Quel étrange idée de se mettre nu, franchement. Ne comprenant pas cela, l'hybride continuait à trainer la femme.

Une fois la cellule atteinte, Rukainn fit signe au garde d'ouvrir la cellule. C'est alors qu'il balança la dryade à l'intérieur après lui avoir enlevé la corde et procédé à la fouille au corps.

- Bon séjour..

Lui dit il avant de repartir pour Sarosa.

Sujet: Re: Cellule de l'avare Mer 28 Oct 2009 - 1:19

La femme nue n'était ni plus ni moins qu'une dryade, l'Oracle de Danava.. Sa nature semble tendre a expliquer qu'elle soit nue, n'ayant que les formes d'effacés afin que ça ne fasses pas vulgaire car même chez eux, ils ont le sens de pas trop choquer l'assemblée quand même...

Mais là n'est plus le problème.. La chevelure d'un beau vert et aux fleurs minuscules multicolores venaient faner petit a petit et le vert tirer vers une couleur plus brune.
La peau elle également est touchée, moins lisse et un peu plus jaunie...

Une plante qui fane en l'absence de terre et de soleil affichant sur son visage une peine longue en fixant un rayon du soleil traverser une fenêtre...

Sujet: Re: Cellule de l'avare Mer 28 Oct 2009 - 16:49

Grydan eut vent qu'une femme dénudée avait été enfermée en prison, et que personne ne semblait concerter jusqu'à présent. N'ayant pas grand chose à faire, il décida de se charger de son cas, bien que son casier ait déjà été établi. Il descendit ainsi les froides marches de la prison, puis se posta devant la cellule, observant avec attention la créature verdâtre se tenant devant lui, d'un air abattue. Il ne sourcilla pas à cette vision assez pittoresque, puis décida d'interpeller la dryade.

Bonsoir, je vais m'occuper de vous. Si vous avez des questions ou quelque chose à dire, je vous écoute et je tenterai de vous répondre dans la limite de mes connaissances ainsi que de mes droits.

Sujet: Re: Cellule de l'avare Mer 28 Oct 2009 - 18:13

Tournant la tête vers l'homme s'approchant, la dryade ne semble pas avoir de forces pour se relever ne serait-ce plus que ça... Une plante déracinée...
La voix est faible, voir un peu soufflante comme si elle manquait d'air.

-Ce soldat... a blasphémé contre...Danava.. Je suis Oracle de Danava.. L'ancienne grande prêtresse.. de notre mère....
M'appeller "Catin de Danava"... ne savez vous plus.. respecter ces choses là ? Vous devrez comprendre... Non ?

Elle reste assise la tête basse, accroupie dans un coin, recroquevillée sur elle, au teint jaunit et à la peau ridée.

Sujet: Re: Cellule de l'avare Mer 28 Oct 2009 - 18:34

L'homme-loup se tourna vers le garde et lui demanda le casier judiciaire de la dryade. Le remerciant d'un signe de tête, il entreprit ensuite de le lire avec attention le parchemin. Lorsque ce fut terminé, Grydan reporta son attention sur la prisonnière et répondit posément

Dame, vous avez insulté un soldat de sa majesté Roland IV après avoir protégé deux monstres, deux lycans qui venaient de battre une jeune femme.

Le soldat rendit le parchemin et croisa les bras, ses yeux fixés sur la servante de dame Nature.

Votre devoir pour Danava est une chose que je comprends et que je loue mais il est évident que vous ne vous montrez pas à la hauteur de votre rang, que vous n'honorez pas la déesse à sa juste valeur et que vous n'accomplissez pas sa volonté. La formule employée par mon camarade ne me semble donc pas si déplacée que vous voudriez nous le faire dire.

Grydan se tût et demeura stoïque face à son interlocutrice.

Sujet: Re: Cellule de l'avare Mer 28 Oct 2009 - 18:44

La dryade resta la, abasourdie des réponses... des réponses qu'elle semblait la choquer.

-Est-ce une raison de me traiter de trainée... et d'insulter notre clergé ?
qui.. êtes vous pour dire.. que je fais mal mon devoir ? Je protège mes... enfants.. mauvais.. ou non. c'est mon devoir.. Et c'est aussi... mon devoir de les rendre bons.. Je n'ai malheureusement pas pu faire ça.. en 3 maigres heures... vous m'en voyez... navrée.

Elle poussa un soupir, se recroquevillant un peu plus en fouissant son visage.

-Vous ne respectez plus rien.. Donblas doit avoir honte de vous... De vous penser autorisé à insulter les gens,... malgré leurs rangs ou leurs appartenances...

Sujet: Re: Cellule de l'avare Mer 28 Oct 2009 - 20:35

Le soldat se raidit légèrement lorsque la dryade se mit à l'insulter, lui et ses frères. Ne se séparant pas pour autant de son calme naturel, il reprit

Voilà de sages paroles que vous ne mettez pas en application. Voilà de grands principes que vous ne faites que ressasser sans les respecter. Voilà de belles futilités.

Grydan désigna son insigne du bout d'une griffe

Je suis un homme-loup, un soldat, dévoué à sa cause et à son roi, à ses terres et à son peuple. Je suis Grydan et je ne permets pas que l'on remette en cause ma foi et mon combat. Alors que vous protégez ces criminels, ces monstres dont Danava n'a jamais voulus, je me bats là où vous devriez être, ici et là, sur l'île Hunter ou aux alentours de Gathol, terre perdue par notre mère à tous depuis l'invasion des démons.

Le guerrier marqua une pause.

Mon camarade ne parlait pas de votre clergé, qui se fait désormais bien trop discret pour que quiconque puisse porter un quelconque jugement sur ses gestes et faits, mais de vous seule. Vous vous prétendez oracle de Danava et pourtant ma simple condition de soldat me permet de dire que vous ne le méritez pas.

Grydan remit ses bras poilus le long de son corps et conclut

Nous ne nous sommes jamais égarés, dame, nous restons fidèles à nos convictions pendant que vous sombrez dans une prétention qui vous empêche de voir la réalité de la situation.

Ekibyo, un Vulrek venait d'être mis en prison par Elmina. L'animal avait agi avec un grand manque de respect pour le population de Sarosa. Tout d'abord se promenant avec l'arbalète pointée vers les gens puis en brisant une porte sur un pauvre homme.

Elmina fouilla le Vulrek et lui retira ses armes et autres objets. Elle verrouilla la cellule puis l'observa.

-"Quelques chose à déclarer?"

Ekibyo observa où on l'avait jetter puis observa son interlocutrice et une fois qu'elle eu fini répondit.

Vous avez déja enfermez quelqu'un car il avait cassé une porte moisie?
Et sinon,je sors quand d'ici?...car c'est pas vraiment à mon gout.

Elmina secoua la tête, cet animal le désespérait. Non seulement son égoïsme était à toute épreuve mais en plus il n'assumait pas ses actes.

-"Vous n'avez pas compris que votre attitude met en danger la vie des autres. Un enfant aurait pu se trouver derrière cette porte et vous l'auriez tué. Vous allez rester ici une semaine.

Je vous souhaite bon séjour."

Elle quitta les prisons.

La détention d'Ekibyo étant terminée, un garde le libéra et le fit sortir de prison.

Dans un grand tollé, le gamin-grenouille Niek', fraîchement revenu, le Conseiller Tyroine, poussant devant lui, la prise de l'après-midi (un homme étrange dont le visage était caché d'un masque), suivi enfin de la nouvelle recrue, Clodette, surgirent dans les prisons. Dans une ambiance tendue, mais sans aucun dérapage, le parfait inconnu fut jeté dans la prison, fouillé et dépouillé de toutes ses armes, avant que son identité soit révélée à tous par le retrait de son masque. C'était ... c'était ... !!! C'était à vrai dire, quelqu'un dont le visage ne disait pas grand chose, et pourtant ses traits tendus titillaient tout les royalistes présents. Le garde, après la fouille, assura que le détenu qui avait prétendu s'appeler Roger Dupont, ne pouvait porter le même nom, puisque lui-même connaissait deux amis frères jumeaux portant ce nom, et ils portaient la moustache.

Après quelques bavardages agités, le Conseiller quitta les geôles, laissant le soin à Niek' de faire subir au détenu un interrogatoire, épaulé par Clodette. Malgré quelques stratagèmes employés, les avoeux du détenu ne furent pas très fructueux, et les 2 royalistes finirent par le laisser en l'agréable compagnie des gardes. La grenouille n'hésita pas à préciser que - vu le peu d'information reçue - celui dont il ne savait rien ne risquait pas d'être vraiment nourri le lendemain.

(Pardon pour le délai, j'ai eu des difficuletés pour m'inscrire :p)

Le parfait inconnu -il n'était pas autre chose que ca pour les soldats- attendait calmement que quelqu'un vienne, pour poser de nouvelles questions, le libérer ou autre chose encore.

Trois soldats entrèrent dans la cellule d'Ekibyo où il était lui même enfermé dans une cage en acier.

Philibert - L'heure de votre sentence est arrivée.

Les trois compères portèrent difficilement la cage jusqu'à Sarosa, dans la place publique.

Personne ne vint s'occuper du parfait inconnu tandis que le vulrek avait d'ores et déjà quitté la cellule où il venait d'arriver. Le calme inhabituel de l'actuel résident de la cellule le faisait même oublier des gardes, qui de toute façon, avait reçu l'ordre de ne pas s'en soucier pour le moment, surtout en ce qui concerne la nourriture. Niek' avait bien à raison voulu profiter de la fin de la semaine pour un repos qu'il passait dans sa paille douillette, et redescendre dans ses cachots ne lui auraient aucunement procuré un tel sentiment de repos. Par ailleurs, il comptait bien en l'abandonnant, susciter chez l'impassible criminel un sentiment de détresse.

La journée du lendemain passa dans le même calme et silence, la même patience, et cet air lourd et lugubre propre aux geôles royalistes devaient sans aucun doute faire piquer à l'inconnu des débuts de crise d'angoisse. Ce n'est qu'en fin de soirée que le petit homme-grenouille daigna prendre nouvelles de sa fière capture. Il n'avait plus du tout cet air énervé - qui l'avait tant brouillé dans son interrogatoire du soir de la capture - et arrivait, le teint plus vert que les pelouses des jardins du Temple, un sourire radieux qui reliait les deux extrémités de son visage rond, et qui faisait ressortir hideusement ses deux yeux globuleux. Ces expressions le trahissaient presque volontairement, il était évident que la petite grenouille avait préparé plus d'une carte pour faire cracher le morceau à sa victime enfermée.

- "Coac, Messire. J'espère que vous âppréciez le confort de nos chambres ... Je voâs que vous n'âvez pâs encore daigné commandé votre repâs, mais je n'ai pas voulu le faire sans vous .. Comprenez bien, notre règlement stipule que le repâs ne doât être livré qu'â lâ personne dont l'identité aurâ été signâlée. Or, quel mâlheur, coac, je ne pense pâs que vous m'ayiez donné votre nom ..."

Dans un élan théâtral, et non sans une ironie piquante, le gamin prenait tous les tiques du garçon d'hôtel en même temps qu'il récitait son discours préparé à l'avance.

Personne n'était venu durant les dernières journées et le prisonnier était quelque peu inquiet, surtout parce que dans les faits il ne savait pas grand chose, sans cependant céder a la panique. Il était à peu près certain que les soldats royaux ne continueraient pas jusqu'à le tuer.

Lorsqu'enfin l'homme-grenouille vint, il décida cependant de se montrer plus coopératif. Ses capacités a tisser un mensonge crédible s'étaient révélées a peu près nulles.

-Si un nom vous suffit, écrivez celui que vous voulez. Roger Dupont par exemple. Je vis sous le surnom de "Masque" cependant, si cela vous convient.

Sujet: Re: Cellule de l'avare Jeu 14 Oct 2010 - 21:02

Après un retour de permission agitée et une première ronde bien plus encore, Moraste, accompagné de Signar, déposèrent Elyssa, une jeune lycanthrope dans la cellule de l'avare.

-Bon, t'es là pour une p'tite semaine, j'pense, et estime toi heureuse qu'j'ai pas compté ta bousculade de tout à l'heure !

Après avoir bien fermé la porte à clef, le nain s'en alla d'un pas léger des geoles, satisfait de son premier travail après tant de mois d'absences.

Sujet: Re: Cellule de l'avare Lun 25 Oct 2010 - 23:13

Un soldat vint d'un pas pressé, visiblement gêné, ouvrir à la prisonnière

-C'est qu'z'êtes discrète ma p'tite dame, on vous a carrément oublié ! Allez hop, sortez de là

Il raccompagna la lycanthrope hors des geoles et vint se remettre à son poste

Sujet: Re: Cellule de l'avare Lun 8 Nov 2010 - 20:04

Signs avait été conduit par Abelarïon et Kambei dans la prison. L'elfe noir avait aussi demandé à ce que l'angelot n'ait pas de contact. Il laissa un rapport dans les casiers judiciaires pour informer du chef d'inculpation du membre de Nidhögg

Sujet: Re: Cellule de l'avare Lun 8 Nov 2010 - 20:34

L'hybride alla s'installer au fond de se cellule.
Il s'y allongea, mains derrière la tête..

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