Cellule du bavard

Séraphin observa à nouveau Arasorn d'un air indifférent. Il ne réagit pas à sa question , dénuée de sens.

-« L'on vous a menti , les Seigneurs Démoniaques sont toujours vivants , et ce pour votre plus grand malheur. L'Ordre Noir a seulement été innactive dans vos terres , mais nous n'avons pas faibli. »

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Le date butoire étant arrivée , Séraphin fut libéré de prison.

(j'aimerai comprendre:
Tu m'a capturé ou alors tu est ici?)

Edit Tyroine : La date de ma libération est arrivée il y a quelques jours , sauf que je n'avais pas écris le message. Officieusement je suis libre , mais officiellement je viens de poster le message

(En théorie tu aurais dut attendre qu'on te libere, quitte a te libérer tout seul car la, cela peut etre en effet assez confus.)

Edit Tyroine : Si je devais attendre qu'on me libère j'y serais encore jusqu'à aujourd'hui justement. ^^'

Edit Ara': lit mieu

Henry portait le nouveau pensionnaire des prisons de l'avant poste. Il déposa ce qui lui semblait être un elfe inconscient sur le lit et renversa le pot de chambre proche sur la figure dudit elfe dans le but de le reveiller. Brad et Henry se tenaient en face du prisonniers.

Après un interrogatoire qui n'en apprenait pas beaucoup, les deux soldats décidèrent de laisser croupire le prisonniers encore un moment dans l'espoire d'obtenir quelque chose de lui.

[ Evenement ig ]

La veille, plusieurs soldats avaient enfermé l'impérial Django dans la prison du bavard après l'avoir dépouillé de ses objets et de ses armes. Le conseiller lui même était descendu dans les prisons pour mener un bref dialogue avec le " criminel ". Ayant du remettre sa discussion à plus tard, c'est le soldat Jean Jacques Galdiner qui descendit cette fois-ci dans les prisons sombres et humides de la commanderie. Il se posta devant la cellule de l'officier, puis brisa le silence en s'éclaircissant la voix.

JJG - Bonsoir messire, je vais m'occuper de votre cas pour le moment. Je tiens à connaître votre opinion sur les raisons ayant fait de vous un traitre de la couronne. Je vous conseille de coopérer, ainsi le conseiller daignera t-il vous relâcher tôt ou tard. Pour le moment, seul l'Empereur pourrait vous faire sortir d'ici. Je vous écoute.

Django regarda l'homme de bas en haut et haussa les épaules. Il ne comprenait pas pourquoi on lui posait une question pareille...Django soupira longuement et brisa à son tour le silence récemment réinstauré

-mon opinion? Disons simplement que j'aurais apprécié un motif un petit plus valable que mon apartenance à l'Empire...Sinon, ce n'est pas vraiment la peine de me faire miroiter l'idée que je puisse sortir d'ici autrement que les pieds devant...Bon naturellement, ça ne m'étonne pas que l'armée réagisse ainsi et je m'attendais à me faire avoir un de ces jours mais j'avais des choses à règler ici...Bref, je sais que c'est vous qui posez les questions mais, puis-je savoir la réelle raison de votre présence ici? Je doute que vous n'ayez eu envie de discuter de la pluie et du beau temps avec un haut criminel de l'Empire n'est-ce pas? Même si vous êtes la personne la plus sympathique que j'ai pu voir depuis que je suis dans ce trou humide...

Le ton de l'impérial se révelait calme et même amical, il ne connaissait pas cet homme et estimait qu'il ne faisait que son travail, de surcroit il se montrait courtois, chose qui le changeait pas mal du language de charretier qu'avaient tenus les soldats à son égard la veille.

Jean Jacques Galdiner se contenta de hausser les épaules.

JJG - Je suis ici pour approfondir votre casier judiciaire, et décider ainsi si vous devez être définitivement considéré comme ennemi de la couronne ou non. Votre témoignage pourrait se révéler important, et vous laisser entrevoir une porte de sortie. Mais c'est vous qui voyez.

Il sortit un parchemin puis le parcouru rapidement des yeux.

JJG - Je souhaiterais avant tout que vous me disiez tout ce que vous savez sur l'Empereur Kadea Owaryn. Avez vous remarqué quelque chose d'anormal dans son comportement ? De quel œil voyez vous ce qu'il s'est passé dans la salle du trône, et que pensez vous de l'Empereur après cela ?

Sa mine s'assombrit tandis qu'il relevait les yeux vers lui.

JJG - Et que savez vous à propos du sceptre de l'Empereur ... ?

Django regarda JJG d'un air méfiant, jusqu'à présent les questions ne lui semblaient pas trop génantes, toutefois il savait comment se passaient les interrogatoires. L'impérial quitta sa paillasse moisie pour aller s'installer sur le tabouret bancal de sa cellule, face à son interlocuteur

-C'est le frère de l'ancien Empereur Fastpouki, il à toujours eu une politique proche de son peuple et n'à jamais hésité à s'impliquer personnellement pour la reconstruction de l'Empire et pour les batailles...Mis à part ça, son comportement à récemment changé il est vrai...Les evenements l'ont forcé à passer l'autorité martiale au dessus de l'économie du pays. Les quelques incidents que l'Empire à eu avec l'armée l'ont à mon avis poussé à faire ce changement radical...Il à aussi une forte confiance en lui-même et en l'Empire ces derniers temps, peut-être même trop de confiance, il prends des décisions audacieuses, ce qui n'est pas vraiment sa coutume...Je pense qu'il commence à se détacher de ses conseillers pour trouver sa propre voie de gouverner...

Django redressa la tête et soutint le regard de JJG, la question du scèptre subsistait encore et l'intriguait. Dans un léger soupir Django continua ses explications

-Je crois qu'il à pris ce sceptre pour appuyer son statut, comme une sorte d'embleme...Pourquoi cette question?

(HRP: S'cusez, ça fait bientôt deux semaines que y'à pas eu de réponse, auriez-vous l'aimabilité d'en faire une ou de prévenir de l'absence? :p)

Un garde vint se présenter à la cellule de l'impérial, puis annonça d'une voix sobre :

Garde - En l'absence de réel besoin de vous détenir ici, le conseiller a décidé de vous libérer. Bien entendu, nous vous conseillons de ne plus mettre les pieds à Vesperae.

Il ouvrit alors la porte et détacha Django.

( Désolé du temps de réponse et du manque de suivi du rp, on fera en sorte que ça ne se reproduise plus. )

Le garde roger pensant pouvoir retourner à sa sieste habituelle tout en restant debout grommela en revenant vers Django, insistant pour récupérer ses affaires. Il fit venir un collègue en provenance de l'armurerie, et rendit les équipements de Django ainsi que son insigne.

Garde - Voilà.

Le conseiller du roi descendit dans les geôles de la commanderie de Trigorn et posta devant le lycanthrope recroquevillé. Il garda son visage relativement calme et paisible et interpella le détenu.

Approche donc lycanthrope, nous allons parler. L'on m'a dit que tu avais soit disant empoisonné un groupe de personnes ? Dis-moi tout à ce sujet.