Cellule humide

(PS: Tu n'est pas en fonction , puisque Niek a demandé ta dettention provisoir en attendant d'éclaircir l'affaire.

Citation :: et sachez que vous êtes tous deux détenus tant que je ne trouve pâs d'accord coac

)

(Accessoirement si quelq'un pouvait m'emmener le détenu en infirmerie que je m'en occupe , car l'infirmier ne fait pas ses rondes das la prison Wink

)

Antho arriva , par hasard vers les prisons , pour y faire un tour , puis passa devant la geôle de Marcus , et il remarqua qu'il était inanimé , il fit signe à des soldats de l'emmener à l'infirmerie le plus vite possible , puis ajouta:

- Dépêchez ,Sinon on ne pourras plus le sauver.

puis il se retira des geôles , derrière les deux soldats emmenant Marcus à l'infirmerie au pas de courses

Arasorn, legerement étonné du vacarme qui regnait dans ses prisons, sortit de son bureau afin de le faire cesser.

D'une voix autoritaire, il demanda:
Que se passe t'il ici?

Il palit legerement lorsqu'il recconu le garçon qu'il avait libéré peu de temps auparavant inanimé.
Le responsable penitencier accouru en parlant en grinçant des dents :
Qui est l'imbecile qui a mit un gamin si jeune dans ces prisons.

Arasorn porta le garçon jusqu'a l'infirmerie

Le Trésorier, alerté par un garde de l'incident aux cachots, venait d'y arriver, après avoir traversé un brouhaha de rumeurs entre soldats. C'est sans beaucoup d'étonnement qu'il entendit la remarque du responsable pénitencier, et, d'un air assuré, s'approcha d'Arasorn.

"- C'est moâ, Sir Arasorn. Je ne doute pas du mal que peut représenter un séjour en prison pour un enfant de son âge, mais la loâ est la loâ. Et selon celle-ci, notre mâlheureux détenu, du haut de ses pauvres seize Vinas, est tant bien que mal considéré comme mâjeur. Je ne pouvais donc que l'arrêter pour les actes dont il est âccusé.

Par ailleurs Sir, sans douter de vos compétences, j'ai pu constater par un trajet au Bureau des Câsiers Judiciaires que ce jeune homme n'âvait nullement à se trouver à l'air libre lorsque je l'ai arrêté, mais devait déjà se trouver en prisons. J'ai cru comprendre de certains gardes que vous l'âviez vous-mêmes relâché, mais l'absence d'explications me laisse dans l'incompréhension totâle. Cet acte vâ en désaccord avec les griefs d'accusations du soldât Grim, que j'ai pris soin de garder ici même égâlement. En ce genre de cas râre, il serait bien que les autres membres de notre fière armée soâent informés. Enfin, vous êtes lâ à présent, et je veux entendre votre version, si celâ ne vous dérange pâs bien sûr."

Achevant son discours, quoiqu'attaquant, sur une note légèrement teintée de tact, l'homme-grenouille y joignit un sourire invitant au dîalogue.

Je trouve personnellement qu'un jeune homme, aussi fautif soit il, n'az rien a fauire en prison.
je comprend parfaitement votre décision de l'avoir ramené ici mais je pense qu'un petit séjour sous la tutelle d'un garde pour le remettre dans la droit chemin serait plus approprié, mais la n'est pas la question...
Je l'ai relaché car j'avais déja déceller sa faiblesse, l'heure n'est plus au blabla mais az l'action, ce garçon va mal, laissez moi l'ammené a l'infirmerie, nous pourrons reparler par la suite si vous le desirez.

Pek' restait perplexe face aux explications d'Arasorn.

- "Soât, Messire, je n'ai pas â contester vos actes, quoâque je les trouve bien arbitraires. Des règles sont fixées pour être respectées, pâs pour jouer le cas par câs sous l'influence d'une certaine pitié. Quand vous reviendrez, j'espère que l'on prendrâ temps de s'occuper de ce Sir Grim."

Je l'espere egalement.
A la revoyure sir Pek'

Un corps est jeté dans le fond de la cellule. Aucune réaction. Les torches s'éloignent. Les rats couinent. L'obscurité reconquiert son territoire. De l'eau suinte des parois. Le corps patauge dans la flaque de la cellule. Un bruit de castagnettes fait résonner sinistrement les murs de la prison...

Le froid me réveille. Je frissonne. Je suis trempé. Je claque des dents. Je me recroqueville. Mon ventre fait mal. Il fait sombre.

Où suis-je?

La peur m'envahit. Je me suis fait agresser. Je me suis fait prendre par des esclavagistes ou pire...

Où suis-je?

Je panique. J'observe le mur sans le voir. Je mets une éternité avant de me tourner sur le dos pour regarder, enfin, ce qu'il y a derrière moi. J'essaie de ne pas faire de bruit. Cela fait malgré tout un clapotis.

Des barreaux... ! Je suis mort! Je suis pris! C'est la fin!

Je ne comprends toujours pas ce qu'il s'est passé. Mes souvenirs peinent à refaire surface. Ma main se crispe sur un harpon. Je prends conscience que je porte un déguisement...

Mon déguisement d'homme-requin!!!

Les images s'entrechoquent dans ma tête.

La grenouille... cuisses appétissantes... bon repas... Non! ... Un homme-grenouille... Un insigne royal... Et un autre... Qui me rossent... Qui me traînent... Plus rien...

Péniblement je me traîne vers les barreaux. Mes craintes se confirment. Je vois dans le fond de la pièce des torches allumées dont le reflet sur les armures des soldats ne me laissent plus aucun doute sur l'endroit où je me trouve. Je me laisse tomber au sol, trop brisé pour pouvoir encore bouger, trop découragé pour pouvoir rassembler mes forces.

... prison... prison... prison...

Seul ce mot parvient à s'imposer dans mon esprit. Ma tête retombe. Malgré le froid, malgré mes vêtements trempés, je ressombre dans un sommeil malsain, peuplé de cauchemards.

Lokhi's Tales.

Le Trésorier descendit chercher le soldat qu'il avait enfermé quelques jours plus tôt, pour une petite réunion. Il lui ouvrit la porte, et celui-ci sortit sans un mot. Pek' lui détacha ses liens, jugeant que le royaliste ne se débatterait pas, surtout au sein-même du château. Sans un mot il fit comprendre à Grim qu'on l'attendait, et ils partirent assez vite. Sur le chemin, l'homme-grenouille s'arrêta cependant, pour s'adresser à Lokhi.

- "Monsieur, n'ayez crainte, vous sortirez demain. En attendant, vous avez du pain rassis pour contenter votre faim. Evitez dès â présent les cuisses de grenouille, et surtout les miennes, sans quoâ c'est à ma hâche que vous aurez droât. Bonsoâr.

Avec l'aide de Mikitty , une récente recrue , Tyroine venait d'arrêter deux personnes : Amaroc et Rakinn. Amaroc , d'après ses souvenirs et informations , avait un dossier dans les archives de l'Armée Royale , de plus celui-ci semblait appartenir à l'Ordre Noir , constamment en compagnie de Tria. Il l'avait donc arrêté après l'avoir dépouillé de ses armes et objets. Il avait donné les raisons de son arrestation au geôlier , qui devait se contenter de les transmettre aux responsables pénitenciaires. Une enquête devait être menée sur son cas.

Amaroc se reveilla lentement et observa la piece.

' Ca faisait longtemps... '

Il se redressa et approcha les barreaux.

-Je n'ai aucune raison d'etre ici, je n'ai rien fais, liberez moi...

Son ton étais calme.

-Vos accusation sont fausses, je ne fais pas partie de l'Ordre Noir...

Des mots résonnent dans ma tête endolorie. J'ai du mal à respirer. Je ne peux plus bouger mes jambes transis du froid que je sens remonter jusqu'à l'haine. Mes reins sont douloureux et mes poumons me brûlent. Je ne sais plus si je transpire ou si de l'eau coule sur mon visage. Mes paupières sont lourdes et je n'ai plus assez de force pour crier que j'ai soif. Je sens remuer derrière moi.

Des rats, ... Des rats!!!

J'ai un mouvement convulsif vers le mur pour me protéger de leurs morsures. Encore ce clapotis de la flaque dans laquelle je marine depuis...

Depuis? ...

Je ne sais pas depuis combien de temps. Les mouvements se sont rapprochés de moi. Je ne sens pas les petites dents des rats me déchiqueter les vêtements et les chairs. Etait-ce des rats?

Je sens la lame de mon arme de feu s'enfoncer dans mes chairs. Je suis couché sur sa tranche. Je parviens à concentrer mes pensées sur elle. J'aimerais activer son pouvoir pour me chauffer un peu. Mais je ne sens que les pavés glacés et l'eau trempant mes vêtements.

Demonio me viendrait-il en aide?

Mes douleurs s'estompent, deviennent plus vagues, comme si elles s'évaporaient. Une douce chaleur rassurante les remplace. Je vois une lumière douce. J'ai pourtant les paupières fermées. J'avance vers la lumière, elle se rapproche. Une ombre se dessine petit à petit. J'ai du mal à discerner les traits à cause de la lumière. Il y a une longue cape noire, il y a une faux,... pas de visage... je me rapproche encore...

Lokhi's Tales

Zemmollon arriva dans les sombres cachots du palais.
Il remarqua que deux nouveaux prisonniers etaient dans la cellule humide.
Il soupira, et remua la tête de droite a gauche.

-Mais quand comprendrons-ils que cette cellule n'est pas adaptée aux humains...

Lorsque Amaroc parla, Zemmollon le regarda avec un air exsperé, avant de lui dire:

-Ah ouais, tu n'es pas a l'Ordre Noir?
Quesque sa peut bien faire?
L'important, c'est que tu t'es montrer menacant envers un royaliste...
Tu apprendras peut etre qu'il vaut mieux se taire, parfois...
Il n'y a d'honneur ni a la prison, ni a la mort...

Puis son regard s'attarda sur Lokhi.
Celui ci etait a terre, dos au mur, et il fermais les yeux.
Dormais il?
Zemmollon se racla la gorge, et cria:

-Hé !
Reveille toi !
Ho !

Edit Tyroine : C'est Amaroc , pas Ràlas. De plus ce dernier ne m'a pas menacé.

Une voix m'appelle. Est-ce la cape noire? Non, la voix vient d'ailleurs. Elle est rude. Je ne parviens pas à lui répondre. Les mots ne passent pas mes lèvres. Remuent-elles? Je ne sais pas. Je ne sais plus. Je...

Le corps ne réagit pas à l'appel du soldat. Il gît inanimé dans la flaque.

Ce prisonnier se se reveillait pas...
Tyroine avait entendu dire qu'un prisonnier avait été bléssé...
Etait-ce lui?
Peu importe, il fesait triste a voir.
Zemmollon se tourna vers deux gardes:

-Hé !
Soldats !
Venez m'aider, on a un detenu qui va mal !

Zemmollon et un garde porterent le prisonnier, tandis que le second ouvra et ferma la porte.
Le prisonnier fut transporter d'urgence a l'infirmerie

(Lokhi, je poste le suite a l'infirmerie !)

Amaroc regardait Zemmollon.

-J'ai jamais etait menacant, c'est lui qui m'a pointé le dos et m'a enfermer sous pretexte que j'appartennais a l'Ordre, je me suis laisser faire car je n'ai rien a me reprocher, et que je me dis qu'il y a bien une justice.

Il s'eloigna des barreaux et s'installa dans l'endroit le moins mouillé.

-J'ai commis certains crimes par le passé certes, mais je n'ai fais aucun meurtre et j'ai payer pour ces crimes...Je n'ai rien a faire ici...

Tyroine , Mikitty , Antho , Roger , Moraste , Zihark et d'autres soldats , lors d'une patrouille du soir , avaient entendu parler des Noctae à voix haute de la situation de Zemmollon , laissant sous entendre qu'il était mort. Après une lutte acharnée , ils avaient réussi à capturer trois d'entre eux , Mikaze , Rarke et Loxar. Après les avoir dépouillés de leurs armes et objets , le dirigeant de la commanderie avait tenté de marchander , mais en vain. Ces crapules étaient en effet , plutôt tétues.

' Je vais parler de tout cela à l'Etat Major. La donne a changé , nous pourrions tirer profit de tous ces détenus , contre la libération de Zemmollon. '

Il sortit donc des prisons , se dirigeant vers la salle du conseil.

Le Lycan etait enervé et a sa rentrée dans la cellule il dechira ses liens la douleur ne lui semblait pas si forte il commence a rugir ferocement et les garde reculerent

L'etat major ! c'est moi seul qui sait ou se trouve ton amis...

Libere mes frere et je te montre

Tyroine avait passé la soirée a tenter de parlementer avec les Noctae. Malheureusement , toute décision devait se prendre avec l'ensemble des membres de la guilde. Les soldats n'écoutaient déjà plus Mikaze , ils s'en tenaient à leur rôle de geôlier , sans broncher.

(Bon bah ca fais une semaine que j'suis en prison et ca a pas bouger ^^)

Un garde s'approcha de la cellule d'Amaroc et l'ouvrit. Celui ci se qui etait allongé sur le lit ce redressa. Le garde lui signala qu'il etait libre. A ces mots Amaroc sourit.

-Pas trop tôt, c'est pas que c'est pas confortable ici, m'enfin c'est un peu humide.

Il passa les grilles et inclina la tete en passant pres du garde.

-Merci bien messire royaliste.

Il prit la direction de la sortie en remettant sa capuche pour se cacher du soleil.

Des Soldats qui revenaient de l’Empire arrivèrent dans les prisons de l’Armée Royale. Ils détenaient le prisonnier Runaway de Korandar. Un Soldat, Franck s’inclina devant ses camarades et prit la parole.

-« L’Empire nous confie ce prisonnier appartenant au Clan de Korandar. Sous les ordres du Trésorier Misakith, cet ordre a pour justification le fait que l’Armée Royale est bien plus au courant des courants de Korandar et plus apte à juger cette personne. »

Le garde acquiesça et ouvrit lentement la porte de la cellule et Runaway entra de force.

A peine arrivé dans les prisons impériales qu'il trouvait sa cellule inconfortable. A présent, il la regrettait. Des flaques d'eau ci-et-là, quelques champignons, et des murs humides. Le détenu chercha un coin relativement sec, et y prit place. Ce qui l'embêtait le plus, c'était de revoir le visage d'Arasorn. Qu'allait-il lui demander cette fois ? Les même questions qu'avant ? Runaway jeta un oeil aux quelques cellules qu'il pouvait voir en face, attendant la venue d'un geôlier.

Tyroine venait d'arrêter Tetard , qui avait attaqué à plusieurs reprises la nouvelle recrue royale , Sashma. Alors que ce dernier se rendait à l'infirmerie , il avait fait fouiller et enfermer l'homme. Il n'avait plus qu'à attendre que le chef pénitencier l'interroge.

Cette cellule est horrible, rendez moi mon armes que je mette fin à mes jours.
De tout façon, je reviendrai a la charge, jamais je n'obéirai a un royaliste.

Runaway observa Tyroine lui offrir un compagnon de cellule. S'il était comme tous ces démons, il le mangerait bien. Une fois seul avec le détenu, il s'approcha de lui, les bras croisés.

"-Tu veux mourir ou leur pourrir la vie ? La seconde option est bien plus marrante...et se suicider l'est beaucoup moins, ne crois-tu pas ?"

Le Korandien fit le tour de l'homme et s'arrêta en face de lui.

"-Quel est ton nom ?"

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